[DIGITAL Business Africa] – L’ autonomisation des jeunes et des femmes à travers les TIC. Un sujet brûlant à la table de la Primature du Tchad. Le Premier ministre, chef du gouvernement, Allah-Maye Halina, s’est entretenu, ce 07 août 2024, avec les membres d’une délégation de la Chaire Unesco Access TIC. Aux côtés du Premier ministre, Allah-Maye Halina, le ministre des Télécommunications, de l’Economie numérique et de la Digitalisation de l’Administration, Dr Michel Boukar et quelques membres de son cabinet.
Côte Unesco, l’on retrouvait le titulaire de la Chaire, Armand Claude Abanda et quelques collaborateurs, dont le Pr François Marc Medzom, par ailleurs journaliste et directeur de l’ Ecole supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (Esstic).
La délégation de la chaire de l’Organisation des Nations unies pour l’Education, la Science et la Culture (Unesco) Accès-TIC d’Afrique centrale est donc venue discuter avec le Premier ministre du renforcement du partenariat stratégique et institutionnel.
Cette initiative contribuera à créer des conditions nécessaires pour permettre aux jeunes et aux femmes d’être de véritables créateurs de richesses, gage d’une accélération de l’autonomisation des femmes et des jeunes, rapporte le ministère des Télécommunications, de l’Economie numérique et de la Digitalisation de l’Administration sur sa page Facebook.
À propos de la Chaire Unesco Afrique centrale Accès-TIC
La Chaire Unesco Afrique centrale Accès-TIC est un partenariat stratégique et institutionnel pour l’accès des Jeunes et des femmes aux TIC en Afrique centrale. L’initiative a pour objectif de promouvoir un système intégré de recherche, d’enseignement, de formation ainsi que l’engagement de la collectivité en matière de l’accès aux TIC pour une plus grande autonomisation des jeunes et des femmes.
En date du 18 avril 2023, l’Unesco a confié à la Chaire Unesco d’Afrique Centrale Access-TIC, la mission de promouvoir la collaboration internationale par l’éducation, la science et la culture, y compris la coopération entre universités pour la promotion de la solidarité intellectuelle et morale. Elle développe de ce fait des compétences numériques devant contribuer au développement socio-économique durable dans plusieurs domaines de la vie socio-économique des États de la sous-région.
Par Jean Materne Zambo, source : Dircom. /Primature